Toutes les indications portées ci-après sont transposées à partir des sites de l’Education nationale (« devenir enseignant », « cyclades »…)
session 2026, nouveaux programmes
Agrégation externe section sciences de la vie – sciences de la Terre et de l’univers – Programme de la session 2026 (publié en juillet 2025)
Concours externe spécial de l’agrégation section sciences de la vie – de la Terre et de l’univers – Programme de la session 2026 (publié en mai 2025)
Agrégation interne section biochimie – génie biologique – Programme de la session 2026 (publié en avril 2025)
Agrégation interne section sciences de la vie – sciences de la Terre et de l’univers – Programme de la session 2026 (publié en mai 2025)
concours session 2025 / résultats (épreuves d’admission)
– agrégation externe SV-STU : Agrégation externe – Sciences de la vie, sciences de la terre et de l’univers
– agrégation externe SV/STU, concours spécial : (Agrégation externe spécial – Sciences de la vie, sciences de la terre et de l’univers)
– agrégation interne – sciences de la vie, sciences de la terre et de l’univers : (Publication des résultats, Cyclades)
– agrégation interne, accès échelle rémunération agrégation (privé) – sciences de la vie, sciences de la terre et de l’univers : (Publication des résultats, Cyclades )
concours session 2025 / sujets (épreuves d’admissibilité) – les sujets et rapports des années antérieures sont à la page Annales de ce site
– agrégation externe SV-STU, épreuve secteur A : du génome au transcriptome
– agrégation externe SV-STU, épreuve secteur B : la communication au sein du monde vivant : modalités et conséquences (on limitera le sujet aux organismes pluricellulaires. Les échelles de la cellule à celle des écosystèmes sont attendues)
– agrégation externe SV-STU, épreuve secteur C : le géotherme terrestre
– agrégation SV-STU, concours spécial, épreuve de composition : Sciences de la Vie – les surfaces d’échanges, à toutes les échelles, chez les organismes pluricellulaires. Sciences de la Terre et de l’Univers
– les roches biogènes
– agrégation SV-STU, concours spécial, dossier scientifique : la répartition des isotopes sur Terre : un mécanisme naturel permettant de reconstituer des éléments clés du fonctionnement de la planète Terre (concours externe spécial-dossier)
– agrégation externe, biochimie – génie biologique, épreuve de biochimie : les protéines recombinantes. Initialement envisagées en réponse aux limites des « protéines-médicaments » d’origine humaine ou
animale, les protéines recombinantes produites par des organismes génétiquement modifiés (OGM) occupent aujourd’hui une place prépondérante dans le domaine des biotechnologies. Ce domaine technologique a atteint aujourd’hui une maturité telle qu’il est possible de maîtriser leur production à grande échelle pour diverses applications médicales et industrielles. En particulier, la bioproduction de protéines recombinantes peut être davantage contrôlée que l’obtention de protéines issues de sources naturelles. Ainsi, 59% des molécules thérapeutiques actuellement en développement au niveau mondial sont des biomédicaments. L’obtention de protéines recombinantes implique plusieurs étapes clés, incluant la conception de vecteurs d’expression par les technologies de biologie moléculaire adaptées, la purification, la caractérisation et le contrôle-qualité des protéines produites.
Après avoir présenté les principaux éléments génétiques qui caractérisent un vecteur d’expression recombinant, vous décrirez les caractéristiques spécifiques des bactéries, des levures, des cellules végétales et des cellules animales utilisées pour la bioproduction de protéines recombinantes. Vous justifierez l’intérêt de produire par voie recombinante l’insuline humaine d’une part, et un anticorps monoclonal d’autre part, puis vous présenterez les techniques possibles pour leur production sous une forme biologiquement active. Vous intégrerez à votre propos un exemple de stratégie pour extraire, purifier et caractériser chacune de ces deux molécules recombinantes.
– agrégation externe, biochimie – génie biologique, épreuve de microbiologie : les modes de vie des bactéries. Depuis les profondeurs des océans jusqu’au sein des tubes digestifs des animaux à sang chaud, les
bactéries colonisent la majorité des environnements terrestres. Qu’elles adoptent un cycle de vie infectieux ou commensal, qu’elles soient présentes de manière isolée ou en communauté, leur succès dans ces écosystèmes repose en grande partie sur leur capacité à diversifier leurs modes de vie et leur activité métabolique.
En premier lieu, vous décrirez les principaux modes de vie bactériens d’un point de vue écologique et moléculaire. Vous discuterez les avantages évolutifs associés à ces différents modes de vie. Votre analyse s’appuiera sur des exemples d’interactions microbiennes, tant au sein de communautés mono espèces qu’au sein de communautés pluri-espèces, en mettant en lumière leur importance dans les domaines médical, environnemental et industriel. Enfin, vous présenterez plusieurs méthodes d’identification et de caractérisation des bactéries et de leurs modes de vie, en soulignant les informations spécifiques apportées par chaque technique.
– agrégation externe, biochimie – génie biologique, épreuve de biologie cellulaire et physiologie : la respiration animale. La respiration chez les animaux supérieurs est une des fonctions essentielles permettant l’utilisation de substrats énergétiques carbonés.
Vous décrirez cette fonction au niveau physiologique : le principe de la ventilation pulmonaire, les organes impliqués et le transport des gaz. Vous présenterez également la respiration au niveau
cellulaire avec les principes des diffusions impliqués, l’utilisation des métabolites obtenus, le rôle des organelles et l’adaptation des apports gazeux au niveau vasculaire. La respiration étant également à l’origine de la production d’espèces réactives de l’oxygène, vous expliciterez ce phénomène et les méthodes de détoxification.
– agrégation interne et CAER, biochimie – génie biologique, épreuve sur un dossier technique : les biotechnologies au service de l’ingénierie tissulaire : approches thérapeutiques et alimentaires (sujet première-épreuve)
– agrégation interne et CAER, biochimie – génie biologique, épreuve de composition : mécanismes d’oxydoréduction des organismes vivants et applications biotechnologiques. Au cours de l’évolution, des mécanismes de production d’énergie ont été sélectionnés par les organismes vivants leur permettant de se développer dans de très nombreux environnements. Présenter les principes communs et les spécificités des mécanismes impliqués dans la production d’énergie par les êtres vivants en les illustrant à l’aide d’exemples de voies métaboliques. Les approches biotechnologiques de dépollution azotée des eaux usées et de fertilisation des sols mettent en jeu des microorganismes participant au cycle de l’azote. Présenter, pour ces deux démarches, les installations et moyens mis en œuvre, leurs principes de fonctionnement et les microorganismes utilisés. Pour ces derniers, montrer comment les réactions d’oxydoréduction de leurs voies métaboliques sont exploitées.
– agrégation interne SV-STU, synthèse : Les chromosomes eucaryotes (l’étude s’appuiera sur des arguments judicieusement choisis. Il n’est pas attendu de traiter le cas des plastes et des mitochondries)
– agrégation interne SV-STU, dossier : Temps et durée en sciences de la Terre : dynamismes éruptifs et risques volcaniques au cours du temps, l’évolution humaine, un récit de plusieurs millions d’années, datation et chronologie en sciences de la Terre, le concept de temps en sciences de la Terre (18 documents + annexes)
Postes ouverts aux concours externes et internes
Pour 2025, 77 postes au concours externe, 7 postes au concours externe spécial, 65 postes au concours interne, 15 contrats dans l’enseignement privé sous contrat (CAER).
Typologie des épreuves
Attention ! Pour toutes les épreuves, la note zéro est éliminatoire. Le fait de ne pas participer à une épreuve ou à une partie d’épreuve, de s’y présenter en retard après l’ouverture des enveloppes contenant les sujets, de rendre une copie blanche, d’omettre de rendre la copie à la fin de l’épreuve, de ne pas respecter les choix faits au moment de l’inscription ou de ne pas remettre au jury un dossier ou un rapport ou tout document devant être fourni par le candidat dans le délai et selon les modalités prévus pour chaque concours entraîne l’élimination du candidat. Par ailleurs, le jury tient compte dans la notation des épreuves de la maîtrise écrite et orale de la langue française (vocabulaire, grammaire, conjugaison, ponctuation, orthographe).
Pour les épreuves d’admissibilité et d’admission, certains documents fournis par le jury peuvent être rédigés en langue anglaise, compte tenu de leur nature scientifique.
Agrégation externe
Le champ disciplinaire de l’agrégation externe de sciences de la vie – sciences de la Terre et de l’Univers couvre trois secteurs :
• secteur A : biologie et physiologie cellulaires, biologie moléculaire ; leur intégration au niveau des organismes
• secteur B : biologie et physiologie des organismes et biologie des populations, en rapport avec le milieu de vie
• secteur C : sciences de la Terre et de l’Univers, interactions entre la biosphère et la planète Terre
Ces épreuves sont, dans les attendus des jurys (aptitude à la synthèse, « maîtrise des savoirs académiques », qualité d’expression et de présentation…), comparables à celles des concours de la filière Bcpst. Les exigences de connaissances concernant les épreuves écrites des différents secteurs de l’agrégation externe peuvent cependant dépasser ce qui peut être développé, à propos de certaines thématiques, dans les autres concours. Pour tous les candidats, la lecture du rapport concernant les épreuves écrites permettra d’appréhender avec grand intérêt les contenus relatifs à certains sujets. Pour rappel, ces compositions imposent d’associer au développement de l’argumentation, une introduction et une conclusion, un plan structuré devant apparaître de manière visible, des schémas.
Quelques conseils généraux… Il convient, dans tous les cas : de définir les termes clés du sujet, de rédiger une introduction concise avec problématisation et présentation du plan, d’appliquer une démarche argumentative, d’éviter tout finalisme (« pourquoi ») et l’anthropomorphisme, d’intégrer des exemples concrets dans la démarche , d’éviter le hors sujet, de maîtriser les différentes échelles, de proposer des illustrations soignées, de maîtriser la langue française et écrire lisiblement, de gérer le temps de manière équilibrée, de faire des bilans partiels et des transitions, de rédiger une conclusion qui répond à la problématique et propose une ouverture.
Attention ! Les épreuves sont notées de 0 à 20. Pour toutes les épreuves, la note zéro est éliminatoire.
Le fait de ne pas participer à une épreuve ou à une partie d’épreuve, de s’y présenter en retard après l’ouverture des enveloppes contenant les sujets, de rendre une copie blanche, d’omettre de rendre la copie à la fin de l’épreuve, de ne pas respecter les choix faits au moment de l’inscription ou de ne pas remettre au jury un dossier ou un rapport ou tout document devant être fourni par le candidat dans le délai et selon les modalités prévus pour chaque concours entraîne l’élimination du candidat.
Le jury tient compte dans la notation des épreuves de la maîtrise écrite et orale de la langue française (vocabulaire, grammaire, conjugaison, ponctuation, orthographe).
A chaque secteur A, B ou C correspond un programme de connaissances générales portant sur des connaissances d’un niveau allant jusqu’à la licence universitaire et un programme portant sur des connaissances du niveau de la maîtrise universitaire.
· Épreuves écrites d’admissibilité
Les trois épreuves écrites d’admissibilité portent chacune sur un secteur différent. Elles peuvent comporter ou non une analyse de documents. Chacune dure 5 heures et est de coefficient 2.
· Épreuves écrites d’admission
-> Les épreuves pratiques sont spécifiques à chaque secteur. Les candidats passent l’épreuve spécifique à leur option et les épreuves de leurs contre-options. Ces épreuves intègrent, quel que soit le secteur, des manipulations, des observations, des études de documents, des exercices de reconnaissance. Elles se passent généralement en fin de première quinzaine du mois de juin, au lycée St Louis et à l’université Paris 6 (UMPC).
• épreuve de travaux pratiques portant sur le programme du secteur choisi par le candidat. Cette épreuve de travaux pratiques porte, au choix du candidat lors de l’inscription, sur le programme de l’un des secteurs A, B ou C. Durée : 6 heures, coefficient 3.
• épreuve de travaux pratiques portant sur les programmes de connaissances générales. Cette épreuve de travaux pratiques porte sur les programmes de connaissances générales correspondant aux secteurs n’ayant pas fait l’objet de la première épreuve d’admission. Durée : 4 heures, coefficient 2.
-> Les épreuves orales sont au nombre de deux.
• épreuve orale portant sur le programme du secteur choisi par le candidat. Cette épreuve orale porte sur le programme du secteur choisi par le candidat, lors de l’inscription, pour la première épreuve d’admission. Durée de la préparation : 4 heures, durée de l’épreuve : 1 heure 20 maximum (présentation orale et pratique : 50 minutes maximum, entretien avec le jury : 30 minutes maximum), coefficient 5.
• épreuve orale portant sur les programmes de connaissances générales. Le sujet porte sur le programme de connaissances générales se rapportant au secteur C pour les candidats ayant choisi, lors de l’inscription, le secteur A ou le secteur B pour la première épreuve d’admission ; sur les programmes de connaissances générales se rapportant aux secteurs A et B pour les candidats ayant choisi, lors de l’inscription, le secteur C pour la première épreuve d’admission. Durée de la préparation : 4 heures, durée de l’épreuve : 1 heure 10 maximum (présentation orale et pratique : 40 minutes maximum, entretien avec le jury : 30 minutes maximum), coefficient 4.
Chaque présentation orale est suivie d’un entretien avec le jury. L’entretien peut comporter des questions portant sur les programmes de connaissances générales de l’ensemble des secteurs.
Agrégation externe, concours spécial
-> épreuves d’admissibilité (2) :
- composition, durée 6 heures, coefficient 4 : l’épreuve comporte deux sujets, l’un à dominante sciences de la vie, l’autre à dominante sciences de la Terre et de l’univers. Les candidats rendent deux copies séparées pour chacune des deux parties de l’épreuve.
- étude d’un dossier scientifique, durée 4 heures, coefficient 2 : le candidat est conduit à analyser et à présenter un dossier scientifique, fourni par le jury, tant dans sa dimension scientifique (intérêts, résultats obtenus) que dans ses dimensions éducatives, professionnelles ou citoyennes. Le dossier peut contenir des données scientifiques (et/ ou technologiques) en langue anglaise.
-> épreuves d’admission (2) : au-delà des interrogations relatives aux sujets et à la discipline, le jury pose les questions qu’il juge utiles lui permettant d’apprécier la capacité du candidat, en qualité de futur agent du service public d’éducation, à prendre en compte dans le cadre de son enseignement la construction des apprentissages des élèves et leurs besoins, à se représenter la diversité des conditions d’exercice du métier, à en connaître de façon réfléchie le contexte, les différentes dimensions (classe, équipe éducative, établissement, institution scolaire, société) et les valeurs qui le portent, dont celles de la République. Le jury peut, à cet effet, prendre appui sur le référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation fixé par l’arrêté du 1er juillet 2013.
- leçon : durée de la préparation 4 heures, durée totale de l’épreuve 1 heure et 20 minutes (exposé : 50 minutes, entretien : 30 minutes), coefficient 7 : la leçon porte sur un sujet fourni par le jury, imposant ou non l’utilisation de documents ou de matériels spécifiques. L’entretien avec le jury (30 minutes) se déroule en trois parties : la première prolonge l’exposé (10 minutes), la deuxième partie permet d’aborder d’autres aspects du domaine des sciences de la vie ou des sciences de la Terre et de l’Univers en fonction du domaine dont relève le sujet de la leçon (10 minutes), la dernière partie porte sur des questions relatives à l’autre domaine (10 minutes).
- mise en perspective didactique d’un dossier de recherche, durée de préparation 1 heure, durée de l’épreuve 1 heure maximum (exposé : 30 minutes maximum, entretien : 30 minutes maximum), coefficient 4. Le candidat transmet au jury, par voie électronique (format PDF) au moins dix jours avant le début des épreuves d’admission, un dossier scientifique présentant son parcours, ses travaux de recherche et, le cas échéant, ses activités d’enseignement et de valorisation de la recherche. Le dossier ne doit pas excéder douze pages, annexes comprises. Lors de la première partie de l’épreuve, le candidat présente au jury la nature, les enjeux et les résultats de son travail de recherche et en propose une mise en perspective didactique. Il répond également à une question qui lui sera communiquée par le jury au début de l’heure de préparation. Cet exposé est suivi d’un entretien avec le jury prenant appui sur le dossier et l’exposé du candidat. L’épreuve doit permettre au jury d’apprécier l’aptitude du candidat à rendre ses travaux accessibles à un public de non-spécialistes, à dégager ce qui dans les acquis de sa formation à et par la recherche, peut être mobilisé en termes des compétences dans le cadre des enseignements qu’il serait appelé à dispenser dans la discipline du concours, à appréhender de façon pertinente les missions confiées à un professeur agrégé.
Agrégation interne
Pour les épreuves d’admissibilité et d’admission, certains documents fournis par le jury peuvent être rédigés en langue anglaise, compte tenu de leur nature scientifique.
-> Épreuves écrites d’admissibilité
Les deux épreuves d’admissibilité permettent d’aborder différents domaines des sciences de la vie, de la Terre et de l’Univers.
- épreuve scientifique à partir d’une question de synthèse. D’une durée de 5 heures et d’un coefficient 1, l’épreuve est une composition (devoir de synthèse) et porte sur le programme des collèges, des lycées et celui des classes préparatoires.
- composition à partir d’un dossier fourni au candidat. Durée 5 heures, coefficient 1. Pour des niveaux et des objectifs désignés, le candidat est amené à proposer une progression, et/ ou à exposer en détail un point particulier en l’illustrant d’exemples, et/ ou à élaborer des exercices et prévoir une évaluation, et/ ou analyser des productions d’élèves de différentes natures, en s’appuyant sur des éléments d’un dossier fourni.
-> Épreuves d’admission
Les candidats démontrent leur maîtrise de la conception et de la mise en œuvre de leur enseignement de sciences de la vie et de la Terre au cours de deux épreuves d’admission. Chaque sujet précise le ou les niveaux correspondants des programmes de collège et/ ou de lycée. Chaque candidat est amené, sur l’ensemble des deux épreuves, à aborder les enseignements de collège et de lycée ainsi que différents domaines des sciences de la vie, de la Terre et de l’Univers.
- activités pratiques et travail de classe : durée de préparation 3 heures, durée de l’épreuve 1heure 20 (présentation 60 minutes, entretien 20 minutes), coefficient 1,5. Le candidat présente et réalise des activités pratiques intégrées dans un cheminement problématisé. Il montre explicitement comment cette mise en activité permet à tous les élèves de construire des compétences. La présentation par le candidat est suivie d’un entretien.
- exposé : durée de préparation 3 heures, durée de l’épreuve 1heure 20 (présentation 40 minutes, entretien 40 minutes), coefficient 1,5. Le candidat expose son projet d’enseignement intégrant les dimensions scientifiques et les enjeux éducatifs concernés par le sujet. Ce projet s’appuie sur des ressources scientifiques rendues exploitables pour les élèves. Le candidat montre comment il s’assure de l’efficacité de son enseignement.